advertisment :
a) bruits : bruit de machines, de camions , de tramways de trains, auxquels s’ajoutent les appels du téléphone et les sons de T.S.F., ébranlent constamment le systéme nerveux du citadin , de nuit comme de jour. méme pendant le sommeil qu’ils n’arrivent pas à supprimer chez l’ » habitué » . ils sont perçus par le cerveau . la preuve , c’est que l’on se réveille si l’horologe s’arréte, si un bruit habituel cesse brusquement. la rumeur de la ville impose un travail nerveux incessant dont l’habitant de la cité ne prend pleinement conscience que lorsque , transporté en pleine campagne , il « entend le silence « .
tous les bruits faits par l’homme et par machines sont de véritables » poisons des nerfs » . le fait que les malades nerveux souhaitent tant le silence suffrait à le pouver . les bruit sont d’autant plus dangereux qu’ils sont plus stridents et retentissent avec plus de soudaineté; ils produisent des « chocs » redoutables pour le systéme nerveux .
b) lumières : la lumière rouge est excitante , la lumière verte est resposante . or , les enseignes lumineuses distribuent des lumières vives et intermittentes, rouges le plus souvent. elles ont le défaut d’exiciter le systéme nerveux.
c) vibrations de toutes sortes : un long voyage en chemin de fer ou en auto fatigue, méme si nous sommes confortablement assis. notre fatigue n’est pas proportinnelle à la distance parcourue , mais au temps consacré à la parcourir . elle est due aux secousses répétées subies par notre systéme nerveux.
les vibration du sol , des maisons , de leurs murs en ciment, des vitres , des tuyaux métalliques , ect, sont nocives.
bienfaisantes sont les vacances qui permettent , loin des bruits et des lumières artificiels de la ville trépidante , le repos dans les vertes campagnes, sur nos belles montagnes , dans le silence des prairies , au bercement reposant des grandes foréts ou au murmur des cascades!
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